Plus qu’avant, c’est sûr, puisque c’est la rentabilité que nous recherchons. Pour bien aborder cette question, il est important de rappeler ici que l’on ne parle plus d’achat de légumes (pour ça, il y a la section BIO des épiceries), on parle de participation à un projet de pérennisation de nos petites fermes au Québec et de notre souveraineté alimentaire.

ON PARLE DE VIVRE UNE EXPÉRIENCE DE CONNEXION À SON ALIMENTATION ET À SON ENVIRONNEMENT.

En 2010, la terre de la ferme a été soustraite du marché afin de la protéger (FUSA). La suite logique est d’en soustraire aussi les légumes. Nous souhaitons déjouer le marché par cette nouvelle proposition.